« J'ai imaginé que l'Arène, ce patrimoine qui nous appartient, s'effondrait après une pandémie qui avait tout arrêté. Au moment précis où j'ai réalisé cela, je me suis senti obligé de la soutenir pour éviter sa perte, car Vérone n'existerait pas sans son Arène ».
LUCA SANDRI
Président
L'article complet est disponible sur: «Come un incubo in cui l’Arena crolla. Dovevamo aiutarla» | L'Arena (larena.it)